Si Toyota est le deuxième constructeur le plus important sur notre marché, il ne le doit pas à la Mirai. La raison est fort simple : cette berline s’alimente à l’hydrogène, un carburant virtuellement inexistant au Canada. Cela dit, si on pouvait la ravitailler, la Toyota Mirai serait plus convaincante. Son style beaucoup plus équilibré que l’ancien modèle, sa plateforme à roues motrices arrière (courtoisie de la Lexus LS) et son autonomie électrique de plus de 600 km sont quelques cordes à son arc.