Mercedes-Benz GLC 2016, loin des gènes du GLK

L’habitacle est sans contredit l’élément le mieux réussi

Le GLC est issu de la plate-forme de la Classe C avec laquelle il partage plusieurs composantes.

Il est tout en rondeurs et si ce n’était de l’étoile argentée intégrée dans la grille avant, on le confondrait assez facilement avec le reste de sa catégorie

Il a l’air trapu, ce que ses jantes de 19 pouces, 20 pouces en option, ne manquent pas de renforcer

On remarque son habitacle reculé et son long capot pas très plongeant

Pour 2016, on a droit qu’à la version de base, le GLC 300 4Matic

Les feux arrière reprennent le design de ceux de la Classe S

Le Mercedes-Benz GLC 2016, loin des gènes du GLK

Il se voit greffer un quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres développant 241 chevaux et un couple de 273 lb-pi

Le volant procure une bonne prise en main

L'instrumentation est simple et très lisible

On doit se rabattre sur une molette, un pavé tactile et quelques boutons pour tout activer

Présentation similaire à la Classe S

On apprécie le design des grilles de haut-parleur

L'espace arrière est plus généreux, sauf à la tête

Contrairement au système 4Matic qui équipe le GLA, celui du GLC est à prise constante, envoyant 55 % du couple aux roues arrière en condition normale et, vous l’aurez deviné, 45 % aux roues avant

Le GLC est assez redoutable en hors-route

Il est possible de personnaliser le comportement du GLC grâce à son système Dynamic Select

On aurait aimé que l'écran soit tactile

Côté puissance, en dépit de la cylindrée restreinte du moteur, le sprint du 0-100 km/h se boucle en environ 6,5 secondes

Au volant, on découvre un VUS qui offre un équilibre entre sportivité et confort

On a l’impression d’être au volant d’un modèle beaucoup plus huppé et c’est en grande partie grâce au choix et à la qualité des matériaux