On a beau avoir un rouage intégral, c'est le jugement bien plus que la technologie qui va garder le conducteur sur la route.
Photo: Nadine FilionExercice de freinage. La voiture doit s'immobiliser vis à vis les cônes. Pour votre gouverne, le conducteur de cette voiture a réussi... à son deuxième essai.
Photo: Nadine FilionL'épreuve du slalom. La voiture affiche un angle beaucoup trop prononcé par rapport aux cônes. Le conducteur s'est sans doute payé une pinte de plaisir mais s'il avait été chronométré, il aurait perdu énormément de temps.
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Photo: Nadine FilionSur l'anneau de glace. Le pilote expérimente ici les joies du survirage, qu'il maitrise passablement bien, du moins lorsque la photographe a pesé sur le piton de son appareil photo!
Photo: Alain MorinPendant qu'un groupe attend avant de prendre le départ pour l'épreuve du slalom, un autre, à l'arrière-plan, écoute les instructions du "professeur".
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Photo: Nadine FilionVotre humble serviteur, négociant le slalom.
Photo: Alain MorinChez Mercedes-Benz, le rouage intégral s'appelle 4Matic. Chez BMW, c'est xDrive. Peu importe. Ces systèmes, s'ils sont bien utilisés, peuvent rendre de bons services quand la chaussée se dégrade.
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Photo: Alain MorinC'est la fin de la journée. Bye!