Hyundai Kona 2024 : cinq choses à savoir
Que l’on aime ou non, l’apparence du Hyundai Kona 2024 fait certainement parler. Plus gros que son devancier, le VUS sous-compact arbore une bande lumineuse à l’avant qui ceinture le bouclier. Cette même ligne est reproduite à l’arrière, ce qui aide à la cohérence du design. Malgré tout, l’ensemble est plutôt chargé…
Étant une nouvelle génération, le véhicule reçoit aussi des mises à jour à l’intérieur ainsi qu’au chapitre mécanique et technologique.
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Voici cinq choses à savoir à propos du Hyundai Kona 2024.
Planche de bord numérique
L’habitacle est plus convivial que précédemment. Il est plus spacieux pour les occupants à l’arrière grâce aux sièges avant plus minces de 30 %, ce qui octroie plus de place aux jambes. Le coffre figure parmi les plus volumineux de la catégorie. Pour maximiser l’espace de la console centrale, le levier de vitesse a été transféré sur la colonne de direction.
La planche de bord a été radicalement changée puisqu’elle intègre une interface incurvée qui regroupe l’instrumentation et le système multimédia. Tous deux mesurent 12,3 pouces. Les commodités incluent Apple CarPlay et Android Auto sans fil livrés de série. De plus, il s’agit du premier modèle de la marque à incorporer la clé numérique — une technologie permettant de déverrouiller ou de démarrer le véhicule à l’aide d’un téléphone mobile. Sinon, une panoplie de caractéristiques de sécurités actives et passives sont offertes.
Deux moteurs à combustion
Sous le capot se trouve un moteur 4-cylindres de 2 litres. Il développe une puissance de 147 chevaux et un couple de 132 lb-pi. Le tout est jumelé à une boîte à variation continue (CVT). L’utilitaire arrive de série avec les roues motrices avant, mais le rouage intégral est également proposé.
Pour plus de verve, les Kona N Line sont animés par un 4-cylindres de 1,6 litre turbocompressé. Ce bloc génère une puissance de 190 chevaux et un couple maximal de 195 lb-pi dès qu’il atteint un régime de 1 700 tr/min.
Retrait de la version N
Le Kona N Line prend le flambeau de la sportivité vu que la variante de performance N a été retirée du catalogue. C’est dommage, puisqu’il s’agissait d’un modèle capable d’affronter sérieusement les circuits grâce à sa construction rigide, ses freins puissants et sa cavalerie de 286 chevaux.
En 2024, le modèle N Line reçoit des jantes de 19 pouces, un becquet arrière proéminent, un échappement à deux embouts et des rétroviseurs noirs. L’intérieur est rehaussé par des sièges sport agrémentés de surpiqûres rouges et des pédales en aluminium, alors que le système audio Bose haut de gamme est livrable.
Une version électrique
Le Kona électrique ressemble esthétiquement à la version à essence. La calandre intègre cependant des volets actifs et le port de recharge se situe à l’avant du véhicule. Sous le capot se trouve un compartiment pour entreposer des objets.
Grâce à une batterie de 64,8 kWh, l'autonomie annoncée est de 420 km. À l’aide d’une borne de recharge rapide, il est possible de regagner 10 à 80% des électrons en 43 minutes. Une recharge complète à la maison prendra un peu plus de 6 heures. Malheureusement, le rouage intégral brille par son absence. L’unique moteur active les roues avant et produit une puissance de 201 chevaux.
Ça coûte combien?
Le Hyundai Kona possède une multitude de versions, à commencer par la mouture Essential qui commence à 25 999 $ (27 999 $ avec les quatre roues motrices). Plus haut dans la gamme se trouvent les variantes Preferred qui s’échelonnent comme suit : 28 999 $ (TA), 30 499 $ (TI) et 32 499 $ (Trend).
Le N Line, axé sur la conduite dynamique, est offert à 35 499 $ ou 38 499 $ (Ultimate). Enfin, le Kona électrique se décline en Preferred (46 399 $) et Ultimate (51 199 $). Notez que les deux modèles sont admissibles à la subvention provinciale et fédérale pour un total de 12 000 $, et ils arrivent en concession ce mois-ci.