En studio : Antoine Joubert donne ses impressions du Toyota bZ4X 2023
Le chroniqueur du Guide de l’auto Antoine Joubert a été parmi les premiers au Québec à conduire le Toyota bZ4X 2023 sur les routes de la province.
« Le véhicule qu’on m’a prêté [était] un prototype, un véhicule de production qui est très près d’être commercialisé », mentionne Antoine. Rappelons que le Toyota bZ4X a été conçu conjointement avec Subaru qui, en parallèle, propose le Solterra.
- À lire aussi: En vidéo : de Montréal à Québec à bord du Toyota bZ4X 2023
- À lire aussi: Balado : nos impressions du Toyota bZ4X 2023
Sur le plan esthétique, Antoine remarque que le produit est typiquement Toyota, notamment grâce au design de la planche de bord, des sièges et du système d’infodivertissement. Par ailleurs, puisqu’il s’agit d’une voiture électrique, le chroniqueur se désole du coefficient de trainée de 0,29. Ceci démontre que l’utilitaire n’est pas particulièrement aérodynamique.
Parlons d’autonomie
Toyota annonce une autonomie de 406 kilomètres pour la version à traction et 367 kilomètres pour la variante à rouage intégral. Malheureusement, les cotes descendent rapidement lorsque le chauffage ou le climatiseur est enclenché.
« Branché chez moi, j’ai démarré le véhicule et le tableau de bord affichait 434 kilomètres. Dès que j’ai appuyé sur le bouton pour démarrer le chauffage ou la climatisation, l’autonomie a chuté de 96 kilomètres ».
Face à cette situation, le chroniqueur a contacté Toyota puisqu’il se demandait pourquoi l’autonomie a baissé de 22% d’un coup alors que le mercure indiquait une température plutôt clémente de 15 °C. Ces derniers ont répondu qu’ils proposent des chiffres « conservateurs ». Par conséquent, Antoine note qu’il faudra attendre un essai hivernal avant d'en avoir le coeur net.
Et la disponibilité?
Le Toyota bZ4X arrive chez les concessionnaires canadiens ce printemps. La liste d’attente pour obtenir ce modèle est évaluée à environ un an, mais cela peut varier d’un concessionnaire à l’autre.
Le Toyota bZ4X débute à 44 990 $. Toutes les moutures sont admissibles aux subventions gouvernementales en vigueur, qui totalisent 12 000 $ pour les conducteurs québécois.
Visionnez la capsule En studio au haut de cet article pour connaitre toutes les impressions d’Antoine Joubert.