Toyota C-HR 2018 : on l’essaie cette semaine
Notre premier essai du nouveau Toyota C-HR 2018 est programmé pour cette semaine. Au départ le C-HR, pour Compact High-Rider en anglais, devait être un véhicule Scion en Amérique du Nord, mais suite à la disparition de cette marque, il fera plutôt carrière chez Toyota. Dévoilé au Salon de l’auto de Los Angeles en novembre 2016, le C-HR 2018 arrivera chez les concessionnaires dès ce printemps.
Le design du nouveau C-HR détonne complètement avec les autres véhicules de Toyota. Presque taillé au couteau, le C-HR affiche une silhouette atypique qui fait preuve d’audace et qui lui permet de se distinguer dans le paysage automobile. Élaboré sur la plate-forme TNGA (Toyota New Global Architecture) qui sert de base à la récente Prius, le C-HR fait appel à un moteur conventionnel quatre cylindres de 2,0 litres, développant 144 chevaux et un couple de 139 livres-pied, jumelé à une boîte automatique à variation continue.
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Pas de boîte manuelle au programme, pas de rouage intégral et pas de motorisation hybride non plus. Le C-HR est donc une simple traction, ce qui étonne compte tenu du fait que plusieurs concurrents directs, comme les Honda HR-V, Mazda CX-3, Jeep Renegade, Nissan JUKE et Chevrolet Trax offrent tous le rouage intégral en option. De plus, le C-HR est proposé, en Europe et ailleurs, avec la motorisation hybride de la Prius, mais seule la version à motorisation traditionnelle sera commercialisée au Canada. C’est dommage…
Le design décalé, voire déjanté, de la carrosserie trouve son écho dans l’habitacle où l’on remarque le style particulier de la planche de bord qui crée une ambiance aussi originale que moderne, quoique le bloc d’instruments soit de facture plus classique.
On vous propose un compte-rendu détaillé de notre essai du Toyota C-HR 2018 dans les prochains jours. Gardez le contact…