Elon Musk: de la Tesla à l’Hyperloop
Né en Afrique du Sud le 28 juin 1971, Elon Musk évoque à lui seul le rêve américain par excellence.
Il a élu domicile aux États-Unis en 1992, après un passage de quatre ans au Canada (sa mère est une Canadienne d’origine).
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C’est lui le père de PayPal qu’il a vendu en 2002 à eBay.
Par la suite, il fonde la société Space Exploration Rechnologies (Space X), laquelle s’est donnée comme mission de réduire substantiellement les couts de lancements de véhicules spatiaux.
En 2008, il devient président de Tesla Motors aujourd’hui reconnu comme le plus important constructeur de voitures électriques de luxe au monde.
Le célèbre visionnaire compte aller encore plus loin, si l’on se fie à son projet appelé Hyperloop, qu’il vient de dévoiler à la presse mondiale.
Le projet Hyperloop
Le milliardaire a ainsi présenté sa vision bien personnelle et surtout très futuriste du transport en commun, qui se veut bien plus rapide que ne le sont les trains de type TGV.
L’idée de base consiste à utiliser des capsules pouvant accueillir jusqu’à 28 passagers, qui circulent dans un tube à basse pression, lesquels pourraient rouler à des vitesses extrêmement rapides, voire à la limite du mur du son.
La capsule qui flotterait sur un coussin d’air pourrait alors atteindre une vitesse de pointe de 1 200 km/h. Le tout soutenu par des pylônes et alimenté par des panneaux solaires.
À titre d’exemple, M. Musk parle d’un lien direct entre les villes de Los Angeles et San Francisco, soit une distance d’environ 600 kilomètres qui ne prendrait que 30 minutes.
Voilà une autre idée ambitieuse de cet excentrique homme d’affaires, qui fait déjà la manchette un peu partout à travers le monde.
